quarta-feira, 30 de abril de 2014

• L'histoire des trois frères

Aujourd’hui je vais raconter dans ce post la singulière histoire de Julien, Juliette et Benjamine

Julien, Liette et Jamine - les petits noms des deux filles - étaient trois frères qui ont semblablement vécu entre la fin du siècle XIX et le début du siècle XX. En France, à la Bretagne, à Douarnenez. À l’Ile Tristan, plus précisément. Qu'on peut voir sur la photo ci-dessus.

À vrai dire, nous ne connaissons pas le nom de famille de ces trois frères. Ni s’ils étaient des frères naturels. On admet l’hypothèse qu’ils étaient adoptés. Ce qu’on sait c’est qu’ils apartenaient à la famille d’un riche propriétaire, peut-être un majorat. Julien était un étudiant, peut-être de lois. Et très bon élève.

Ce qu’on connait c’est la fin de leurs vies. Qui est tragique.

Comme ça, avec tous ces conditions réunis, cet histoire doit être bien connue ou documenté. Si elle est vrai. Il y’a plusieurs années, j’a éssayé de confirmer sa veracité. Avec l’aide d’internet. En demandant à plusieurs amateurs de génealogie de Bretagne leur colaboration. 

Ils s’aimaient fort bien, les uns les autres, ces trois frères. L’ainé, Julien, croyait avoir le devoir de surveiller et protéger ces deux soeurs. Et lui et Liette étaient toujours en train de maitriser la vie de la benjamine, Jamine. 

Un jour, quand ils avaient respectivement les âges de 18, 15 et 12 ans, dans une plage, s’est produit la première mort. 

Julien, qui normalement ne laissait pas ces soeurs, s’est éloigné d’elles pour aller grimper sur des rochers. En partant, il a dit à elles de ne pas entrer dans l’eau de la mer. Jamine, qui avait ses caprices et ses volontés difficiles de dominer, n’a pas obéï. 

Elle envisageait être plus indépendante et donnait un boulot terrible à ses frères à cause de ses fréquents entêtements. Malgré ça, elle était la plus aimée des trois. Presque comme que idolatrée. 

Jamine, alors, a couru vers la mer, dés que Julien avait disparu de vue. Liette a voulu la ratrapper et la faire revenir. Mais plus elle éssayait de s’approcher de Jamine, plus celle s’enfuiait. C’était un jeu que perversement Jamine a voulu joué avec l’angoisse de sa soeur.

Quand les deux soeurs étaient dans l’eau, une grosse vague les a amennée. Liette a réussi à se sauver, en s’accrochant à un rocher. Mais elle a du attendre longtemps pour l’arrivée de secours. Et elle a pris un coup de hypothermie. 

Jamine s’est laissé noyer, en se débattant contre les ondes. Son corps est survenu sur les sables le lendemain. 

Julien a développé, depuis l’évennement, un énorme sentiment de culpabilité. Il a cru que c’était sa grande faute la mort de sa si aimé petite Jamine. Le chagrin a envahi son pauvre coeur pour ne pas le quitter jamais. 

Liette le confortait en vain. Et puis, il a commencé à avoir des visions de l’âme de Jamine, quand il se badalait d'habitude dans une fôret. Liette croyait que leur soeur venait de l’au-delà pour calmer l’esprit de Julien. Mais ses mots n’étaient pas écoutés par le pauvre garçon. 

Un jour, peut-être conséquence due à la hypothermie, Liette brulait de fièvre dans son lit, au manoir de ses parents. Julien était encore une fois dans sa fôret. Très loin pour que Liette puisse l’entendre. 

Pourtant, elle a cru écouter une demande de secours venu de son frère, qui était tombé dans une piège naturel, entre pierres et arbres. Il était en risque de mourir s’il restait là plus longtemps. Liette a eu cette vision de l’accident qui était survenu à Julien. 

Même fébrile, elle est parti à la rencontre de son frère. Mais s’était une nuit très noire et d’une tempête infernale. Liette n’a pas réussi à trouver Julien. Il a probablement décedé à cause de ses blessures, par faute d’aide à s’en sortir du trou où il est tombé.

Liette a été trouvé par des gens quand le matin se levait. Sa maladie est devenu pire qu’elle l’était le jour avant, quand elle restait au lit. Et ainsi elle est décedé avec une pneumonie. Ou influenza, comme on disait à l’époque. 

C’est ainsi que la tragédie s’est abattue sur la famille de ces trois promisseurs beaux enfants. 

Mais cet histoire ne termine pas là.

Là c’est juste la fin des mauvaix évennements. Ce qui va se suivre dans un prochain post c’est la partie divine de ce rêve. 

J’ai cru à cet histoire parce que je veux la croire avec toutes mes convictions. Elle est tragique mais sa suivi est néanmoins trop belle. 

Et je la crois aussi pour le respect que j’ai à celle qui m’a passé cet bénédiction des dieux. Je désire avec tout mon âme que des preuves de l’éxistance de ces trois frères et des circonstances de leurs morts me soit fait parvenir.

On ne sait jamais… Ce post peut un jour être lu par quelqu’un qui aura ces preuves.

terça-feira, 15 de abril de 2014

• O meu maior inimigo

É de facto a memória o meu pior inimigo. Aquele que dentro de mim vive e me consome, a pouco e pouco.

E para quê? Porque temos nós memória? Se ao menos nos servisse para aprender com os erros… Mas não. Nós erramos e continuamos a errar. As nossas existências não são outra coisa senão uma sucessão de erros. De erros e mais erros, que cometemos tal como respiramos. Dos mesmos erros, anos a fio replicados.

E depois temos ad eternum de viver com as memórias destes erros… Para quê???… Não podia o Criador ter-se abstido de nos equipar com estes chips que não são úteis a nada?… Excepto talvez para não nos deixar repetir os mesmos erros… imediatamente a seguir a serem reconhecidos. Sim, porque mais tarde ou mais cedo lá cairemos de novo neles…

O erro exerce uma atracção fatal sobre o ser humano. Sabemos tantas vezes e tão bem o que é o certo… Mas não resistimos a fazer ao invés o errado. 

Tornamo-nos voluntárias cobaias de nós próprios. Sobretudo em algo que todos nós almejamos e perseguimos amiúde: o amor.

E depois quando o amor se extingue, porque coisa mais fugaz não há, restam as memórias em nós!… Como uma ferrugem, que é o preço que até o mais nobre aço temperado das espadas de Toledo sempre acaba por pagar por enfrentar a corrosão provocada pelos elementos naturais ao longo de séculos.

Este meu grande inimigo está a cansar-me a beleza!… Mas ao mesmo tempo é como se esta fosse suar para um ginásio. E depois vem de lá mais revigorada.

Afinal, o nosso pior inimigo pode trazer-nos também algo benéfico.

“In the practice of tolerance, one's enemy is the best teacher.”
- Dalai Lama
E a tolerância faz os homens serem melhores.